Le mariage sous L'Ancien RégimeLa Loüange des Cornes.
SVs, sus, mignardes auettes,
                     
                     
                     Chargez vous de violettes,
                     
                     
                     Mignonnes filles du Ciel,
                     
                     
                     Et confiez vostre miel:
                     
                     
                     Chargez mousches bien heureuses,
                     
                     
                     Chargez de fleurs odoreuses,
                     
                     
                     Vos cuissettes que Iupin 1 
                     
                     
                     Surdorera d’vn or plus fin
                     
                     
                     Que celuy là de Pactole,
                     
                     
                     De qui l’ondelette molle
                     
                     
                     En mille plis se tournant,
                     
                     
                     Va son grauois raffinant:
                     
                     
                     Et apres qu’vn soin vous touche
                     
                     
                     D’espandre dessus ma bouche,
                     
                     
                     Ou de verser en mon sein
                     
                     
                     Tout le miel de vostre essein,
                     
                     
                     Afin que ie puisse dire
                     
                     
                     Aux doux accords de ma lire,
                     
                     
                     Ce que m’aprit l’autre iour,
                     
                     
                     Le petit folastre Amour.
                     Car demi dieux des boccages
                     
                     
                     Sortez, & que les ramages,
                     
                     
                     Que vous portez sur le front
                     
                     
                     Ne vous facent plus d’affront,
                     
                     
                     N’ayez plus bouquins de honte
                     
                     
                     Que sur vostre teste monte
                     
                     
                     Ce petit rameau cornu:
                     
                     
                     Entre nous i’en ay cognu
                     
                     
                     Qui comme vous sur la teste
                     
                     
                     Portent ceste riche creste.
                     
                     
                     Pensez que rien n’est si beau
                     
                     
                     Que les cornes du Taureau,
                     
                     
                     Qui dessus sa blanche croppe
                     
                     
                     Rauit la folastre Europe:
                     
                     
                     On ne peut pourtant douter
                     
                     
                     Que ce ne fust Iupiter
                     
                     
                     Luy qui garde en sa cheuance
                     
                     
                     Le riche cor d’abondance,
                     
                     
                     Voire qu’on dit que ce Dieu,
                     
                     
                     Le posa au plus haut lieu,
                     
                     
                     
                     
                     
                     Cheust encore immortelle,
                     
                     
                     Ceste corne, que porta
                     
                     
                     La chéure qui allaita
                     
                     
                     Iupiter en son bas aage:
                     
                     
                     Non non reprenez courage,
                     
                     
                     Chassez bien loin le souci
                     
                     
                     Qui vous tyrannise ainsi.
                     Diane auroit elle grace,
                     
                     
                     Si en courant à la chasse
                     
                     
                     Elle portoit abatus
                     
                     
                     Ses doux cornichons pointus,
                     
                     
                     Penseriez vous que Sephee,
                     
                     
                     L’aimast autrement coiffee
                     
                     
                     Ou creust que ce fust la sœur,
                     
                     
                     De ce Delien sonneur,
                     
                     
                     De qui la face cornue
                     
                     
                     En rayons d’or est cognue?
                     Cest honneur du Cuisse-né
                     
                     
                     De n’estre point escorné,
                     
                     
                     Et la perte miserable
                     
                     
                     D’achelois quand sur le sable
                     
                     
                     Hercule puissant & fort,
                     
                     
                     Marque de son heureux sort,
                     Luy arracha pour conqueste 
                     
                     
                     Vne corne de la teste,
                     
                     
                     Voire ce grand enchanteur
                     
                     
                     Pippé d’un sçavoir menteur
                     
                     
                     D’Alcide eut la victoire.
                     Venus n’a point tant de gloire
                     
                     
                     Que quand son sein demi-nud
                     
                     
                     Nous fait ce mont cornu,
                     
                     
                     Ce mont de laict qui respire
                     
                     
                     La douceur, & le martire,
                     
                     
                     Les dards, les traits, & les feux,
                     
                     
                     Que son fils foudroye à ceux
                     
                     
                     Que contemplent sa poitrine,
                     
                     
                     Poitrine large yuoirine,
                     
                     
                     De la mere des Amours.
                     Le Dieu des meurtriers estours,2
                     
                     
                     Encores la main sanglante
                     
                     
                     A les planter se contente
                     
                     
                     A Vulcan qui n’en a point
                     
                     
                     Lors que quittant le pourpoint
                     
                     
                     Il baise de Cytheree
                     
                     
                     L’œil, & la bouche sacree,
                     
                     
                     Ou qu’il cueille entre ses bras,
                     
                     
                     Encor’ poudreux des combats
                     
                     
                     Auec une douce force
                     
                     
                     Les fruits de la douce amorce,
                     
                     
                     Qui rendit à Venus sien
                     
                     
                     Ce grand guerrier Tracien.
                     Personne donc ne souspire,
                     
                     
                     Le boiteux n’en fait que rire,
                     
                     
                     Luy que la Royne de l’air
                     
                     
                     A conçeu de Iupiter,
                     
                     
                     Voire Iupiter se fasche
                     
                     
                     De ne porter ce panache.
                     
                     
                     Et voudroit que sa Iunon,
                     
                     
                     Quoy qu’on estime que non
                     
                     
                     Par vn si doux exercice
                     
                     
                     Luy eust fait ce bon office.
                     Il ne faut de rien iurer,
                     
                     
                     L’on n’oseroit asseurer,
                     
                     
                     Si Iunon dedans la nue,
                     
                     
                     Luy fit la teste cornue,
                     
                     
                     Lorsqu’Ixion mal’heureux
                     
                     
                     En fut si fort amoureux,
                     
                     
                     Car on dit qu’en ceste sorte
                     
                     
                     Elle trompa plus accorte,
                     
                     
                     Et son frere & son espoux.
                     Que sert d’entrer en courroux,
                     
                     
                     « Il faut que nostre ieunesse,
                     
                     
                     « Qui s’enuole de vistesse,
                     
                     
                     « Passe son temps à ce ieu.
                     
                     
                     « L’aage ressemble à vn feu,
                     
                     
                     « Lequel sans repos chemine,
                     
                     
                     « Et minant autruy se mine,
                     
                     
                     « Il ressemble à un torrent
                     
                     
                     « Qui en nul lieu ne seiourne,
                     
                     
                     « Et iamais il ne retourne,
                     
                     
                     Qu’on employe donc ses ans
                     
                     
                     A ces gaillards passetemps,
                     
                     
                     Voire qu’on croye escornes
                     
                     
                     De porter ainsi des cornes.
                     
                     
                     O cornes tiltres d’honneur,
                     
                     
                     Cornes tesmoins d’vn bon heur,
                     
                     
                     Cornes que chacun salue
                     
                     
                     Quand on les voit par la rue,
                     
                     
                     Cornes di-ie le repos
                     
                     
                     D’vn milion de trauaux,
                     
                     
                     Qui tallonnent nostre vie,
                     
                     
                     Ce n’est point vne infamie
                     
                     
                     De vous porter quelquefois:
                     
                     
                     Les arboutans des palais,
                     
                     
                     Ministres de la iustice,
                     
                     
                     Les portent au sacrifice
                     
                     
                     Qu’ils luy sont obeyssans:
                     
                     
                     Arriere donc mesdisans,
                     
                     
                     Moqueurs d’vn si beau panache,
                     
                     
                     La langue au palais s’attache,
                     
                     
                     De celuy qui mesdira
                     
                     
                     Des cornes & en rira.
                     C. Brisard.
Noms propres
Achéloos ou Aspropótamos
Dans la mythologie grecque, Achéloos fut un dieu-fleuve et le rival d’Héraclés pour Déjanire. Dans le concours pour obtenir la main de Déjanire, Achéloos, possédant le pouvoir
                        de la métamorphose, se transforma en serpent, qu'Héraclés réussit à étouffer, et puis
                        en taureau, à qui le héros parvint à arracher une corne. Essuyant la défaite, Achéloos
                        récupera sa corne en l'échangeant contre la corne d'Amalthée, qui devint par la suite la corne d'abondance.
                     
                     
                     
                     - Achéloos (mythologie), Wikipédia l'encyclopédie libre (23 décembre 2010), Los Angeles, Wikimedia Foundation, Internet, 15 février 2011. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ach%C3%A9loos_%28mythologie%29.
 - Achéloos ou Aspropótamos n.m., Le Petit Robert : Dictionnaire illustré des noms propres, Paris, Dictionnaires le Robert, 1994.
 
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Alcide
[...] surnom d'Hercule. Les Poètes emploient plus volontiers le 1er que le second.
Veuillez consulter également la référence Hercule.
                     
                     
                     
                     - Alcide, Jean-François Féraud: Dictionnaire critique de la langue française (1787-88), The ARTFL Project, Department of Romance Languages and Literatures, University of Chicago, Internet, 8 octobre 2009.
 
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Cybèle (en gr. Kubelê)
Déesse anatolienne, introduite plus tard dans la mythologie gréco-romaine. En raison
                        du symbolisme reproducteur et maternel qui lui étaient associé, les Grecs assimilèrent
                        Cybèle à la divinité Rhéa, la mère des Olympiens.
                     
                     
                     
                     - Cybèle (en gr. Kubelê), Le Petit Robert : Dictionnaire illustré des noms propres, Paris, Dictionnaires le Robert, 1994.
 
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Céphée
Roi légendaire d'Éthiopie et père de la princesse Andromède.
                     
                     
                     
                     - Cybèle (en gr. Kubelê), Le Petit Robert : Dictionnaire illustré des noms propres, Paris, Dictionnaires le Robert, 1994.
 
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Diane (en lat. Diana)
Déesse italique et romaine identifiée dès le - VIe s. à l'Artémis grecque. La Diane primitive, dont les légendes sont très pauvres, était une des plus anciennes divinités adorées par les Latins. Ses sanctuaires les plus importants étaient ceux de Capoue (Diana Tifatina) et d'Aricie, sur les bords du lac de Nemi (Diana Nemorensis).
Pour apprendre plus sur le mythe de Diane, veuillez consulter https://fr.wikipedia.org/wiki/Diane_(mythologie).
                     
                     
                     
                     - Diane en lat. Diana, Le Petit Robert : Dictionnaire illustré des noms propres, Paris, Dictionnaires le Robert, 1994.
 - Diane (mythologie), Wikipédia l'encyclopédie libre (12 août 2009), Los Angeles, Wikimedia Foundation, Internet, 1er octobre 2009. https://fr.wikipedia.org/wiki/Diane_%28mythologie%29.
 
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Délos
Îlot de Grèce qui se trouve dans les Cyclades, près de Mykonos. Au - XIVe siècle,
                        Délos est devenu le centre religieux de la Grèce. L'importance de l'îlot s'augmentait
                        après sa colonisation par les Ioniens de l'Attique au - Xe siècle, qui y installèrent
                        leur culte d'Apollon, d'Artémis (Diane) et de Léto. 
                     
                     
                     
                     - Délos, Le Petit Robert : Dictionnaire illustré des noms propres, Paris, Dictionnaires le Robert, 1994.
 
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Europe (en gr. Europê)
Fille d’Agénor, qui fut le roi de Phénicie ; Europe fut également la sœur de Cadmos,
                        héros grec. Amoureux d’elle, Zeus se transforma en taureau blanc, enlevant Europe et l’amenant en Crète. Les deux donnèrent le jour à Minos, Sarpédon et Rhadamante. À la recherche de leur chère sœur, ses frères, selon la tradition, auraient fondé
                        plusieurs villes en Asie mineure.
                     
                     
                     
                     - Europe en gr. Europê, Le Petit Robert : Dictionnaire illustré des noms propres, Paris, Dictionnaires le Robert, 1994.
 
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Hercule (en lat. Hercules, en gr. Héraclès)
Héros de la mythologie gréco-romaine dont la vie est racontée en plusieurs épisodes
                        héroïques et fabuleux. C’est un demi-dieu, ayant pour père le dieu Zeus et pour mère Alcmène. Héraclès grec a fait plusieurs aventures partout dans la Méditerranée ainsi qu’aux
                        Enfers. Hercule romain semble être moins violent que son alter ego grec.
                     
                     
                     
                     - Héraclès, Wikipédia l'encyclopédie libre (12 août 2009), Los Angeles, Wikimedia Foundation, Internet, 1er octobre 2009. https://fr.wikipedia.org/wiki/Hercule_(mythologie).
 - Hercule en lat. Hercules, Le Petit Robert : Dictionnaire illustré des noms propres, Paris, Dictionnaires le Robert, 1994.
 - Travaux d'Héraclès, Wikipédia l'encyclopédie libre (12 août 2009), Los Angeles, Wikimedia Foundation, Internet, 1er octobre 2009. https://fr.wikipedia.org/wiki/Travaux_d'Héraclès.
 
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- Les Agréemens, Parties 3 et 4
 - Le Bon Mariage
 - Le contre-mariage
 - La Direction et la consolation des personnes mariées
 - Les espines du mariage
 - La Forest nuptiale
 - La Loüange des Cornes
 - La loüange du mariage
 - La louenge des femmes
 - Satyre Menippée
 - Satyre svr les Traverses dv Mariage
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 - La Vie Des Gens Mariez
 
Ixion
Ixion fut le roi légendaire des Lapithes, tribu grecque qui habitait le nord de la
                        Thessalie. De son union avec Héra naquirent les Centaures.
                     
                     
                     
                     - Ixion, Le Petit Robert : Dictionnaire illustré des noms propres, Paris, Dictionnaires le Robert, 1994.
 
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Junon (en lat. Juno, en gr. Hêra)
Déesse de la nature dans la religion romaine, Junon représentait la féminité. Junon
                        et Jupiter, son frère de la même mère Rhéa ainsi que son époux, sont considérés comme divinités primordiaux qui constituent
                        deux des trois figures dans la triade capitoline (Jupiter-Junon-Minerve).
                     
                     
                     
                     Les grecs hellénisèrent Junon et la renommèrent Héra. Ils lui attribuèrent le rôle
                        de protectrice du mariage et des femmes mariées.
                     
                     
                     
                     - Héra en gr. Hêra, Le Petit Robert : Dictionnaire illustré des noms propres, Paris, Dictionnaires le Robert, 1994.
 - Junon en lat. Juno, Le Petit Robert : Dictionnaire illustré des noms propres, Paris, Dictionnaires le Robert, 1994.
 
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 - Stances du mariage
 - Stances du mariage
 - Sur les cornes
 
Jupiter
D’autres noms : Stator (qui arrête), Elicius (qui fait le foudre) et Feretrius (qui
                        frappe). L’équivalent du dieu grec, Zeus, Jupiter, fils de Saturne, est le roi des dieux considéré comme divinité primordiale faisant partie de la triade
                        capitoline (Jupiter-Junon-Minerve) dans la mythologie romaine-italique. Jupiter gouverne le ciel, les éléments météorologiques
                        (tonnerre, foudre) et la lumière du jour. Ainsi il est souvent représenté avec les
                        emblèmes de l'éclair, du trône et du sceptre.
                     
                     
                     
                     D'un esprit licentieux, Jupiter prit maintes amantes, cependant, seulement sa sœur
                        jumelle Junon conquit son cœur. Après plusieurs tentatives de la courtiser, il réussit
                        finalement à gagner sa main en se transformant en coucou mouillé pour exciter la sympathie
                        et l'affection de la déesse. Ainsi leurs noces marquèrent le premier mariage du monde.
                     
                     
                     
                     - Jupiter, Le Petit Robert : Dictionnaire illustré des noms propres, Paris, Dictionnaires le Robert, 1994.
 
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 - Terminologie Médicale
 
Mars
Dieu romain de la guerre, de la végétation, du printemps et de la jeunesse. Selon
                        la légende, il est fils de Junon et de Jupiter et le père des jumeaux 
                        Romulus et Remus, qu'il aurait eus de son union avec Rhea Silvia.
                     
                     
                     
                     Dans la mythologie grecque, il représente toujours le dieu guerrier mais il est renommé
                        Arès. Fils de Zeus et d’Héra et un des douze Olympiens, il est connu non seulement
                        pour ses combats mais aussi pour ses nombreuses aventures avec la déesse Aphrodite (Vénus).
                     
                     
                     
                     - Mars (mythologie), Wikipedia, l'encyclopédie libre (4 février 2024), Los Angeles, Wikemedia Foundation, Internet, 22 février 2024. https://fr.wikipedia.org/wiki/Mars_(mythologie).
 - Mars, Le Petit Robert : Dictionnaire illustré des noms propres, Paris, Dictionnaires le Robert, 1994.
 
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Olympe (en gr. Ólimbos)
Montagneux de Grèce situé entre la Macédoine et la Thessalie. Dans la mythologie grecque,
                        l'Olympe fut la montagne sacrée des dieux, qui s'y rendaient pour festoyer ou pour
                        faire des délibérations. 
                     
                     
                     
                     - Olympe (en gr. Ólimbos), Le Petit Robert : Dictionnaire illustré des noms propres, Paris, Dictionnaires le Robert, 1994.
 
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Pactole (en grec. Paktôlos)
Ancien nom d'une petite rivière de Lydie, affluent de l'Hermos, célèbre par les paillettes d'or qu'elle roulait. Selon la légende, le roi Midas transmit au Pactole, en s'y baignant, son privilège de tout changer en or.
- Pactole, Encyclopédie Larousse (2009), Paris, Éditions Larousse, Internet, 30 mars 2010. https://www.larousse.fr/encyclopedie/riviere-lac/Pactole/136729
 
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Thrace en gr. Thráki
Région qui est, de nos jours, partagée entre la Grèce, la Bulgarie et la Turquie.
                        Elle se trouve au Sud-Est de la péninsule des Balcans.
                     
                     
                     
                     - Thrace, Le Petit Robert : Dictionnaire illustré des noms propres, Paris, Dictionnaires le Robert, 1994.
 
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Vulcain (en lat. Vulcanus)
Fils de Jupiter et de Junon et l'époux de Vénus, Vulcain fut le dieu romain du feu, dont l’équivalent grec est Héphaïstos, de qui
                        il obtint ses traits principaux ainsi que ses légendes.
                     
                     
                     
                     Selon la légende grecque, pour punir l'humanité pour avoir volé le feu du Ciel, Jupiter
                        ordonna aux autres dieux de créer la première femme, Pandore, qui introduirait les maux, le travail acharné et la maladie dans le monde. C'était
                        Vulcain qui modela Pandore en argile, lui donnant la forme des déesses.
                     
                     
                     
                     - Vulcain, Le Petit Robert : Dictionnaire illustré des noms propres, Paris, Dictionnaires le Robert, 1994.
 - Vulcain (mythologie), Wikipédia l'encyclopédie libre (2 février 2011), Los Angeles, Wikimedia Foundation, Internet, 9 février 2011. https://fr.wikipedia.org/wiki/Vulcain_%28mythologie%29.
 
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Vénus
Déesse romaine de la végétation et des jardins. À partir du -IIe siècle, elle fut
                        assimilée à Aphrodite grecque acquérant ses attributs de la beauté, de l'amour et
                        des plaisirs. C'est ainsi que la déesse attira plusieurs amants, parmi lesquels Vulcain, Mars et Jupiter. Comme déesse grecque, Vénus est parfois appelée
                        Cythérée, surnom accordé à Aphrodite alors qu'elle fut portée à l'île de Cythère après sa naissance.
                     
                     
                     
                     - Vénus, Le Petit Robert : Dictionnaire illustré des noms propres, Paris, Dictionnaires le Robert, 1994.
 - Vénus, Wikipédia l'encyclopédie libre (12 août 2009), Los Angeles, Wikimedia Foundation, Internet, 1er octobre 2009. https://fr.wikipedia.org/wiki/V%C3%A9nus_%28mythologie%29.
 
Liens à cette référence dans les documents
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