qui a le coeur de putein il a le foye de paillardise.
c'est grand miracle quant vne feme meurt sans fe folie.
quand vn hõme va voir les puteins il merite d'estre genin.
elle n'en a pas ietté sa part aux chiens elle en a encor de uilains restes.
elle n'a qu'vn vice qui la couure depuis la teste jusques aux pieds. c'est qu'elle ne uaut rien du tout.

B.R.

La brouette, comme les crochets, ressemble aux cornes.

Qui a le cœur de putain il a le foie de paillardise.
C'est grand miracle quand une femme meurt sans faire folie.
Quand un homme va voir les putains il mérite d'être jeannin.
Elle n'en a pas jetté sa part aux chiens, elle en a encore de vilains restes.
Elle n'a qu'un vice qui la couvre depuis la tête jusques aux pieds: c'est qu'elle ne vaut rien du tout.

Voir les autres gravures au sujet de la figure menaçante de Lustucru.

La comparaison de la femme à un baril de vinaigre est encore plus désobligeante quand on note qu'elle vaut moins que le verjus qui vient des raisins verts, pas encore mûrs.

Le texte ici consiste d'une série de maximes, misogynes pour la plupart. Celle-ci suggère que la femme dans la brouette se caractérise par ses appetits sexuels.

Le texte ici consiste d'une série de maximes, misogynes pour la plupart. Celle-ci paraît incomplète, mais suggère que la femme typique fait des folies.

Le texte ici consiste d'une série de maximes, misogynes pour la plupart. Celle-ci semble faire des reproches à l'époux qui fréquente les prostituées.

Le texte ici consiste d'une série de maximes, misogynes pour la plupart. Celle-ci déclare que la femme ne vaut rien, ne représentant que "de vilains restes".

Le texte ici consiste d'une série de maximes, misogynes pour la plupart. La dernière est particulièrement dure dans son insistance sur la dégradation de la femme.