Pline le Jeune reçut son nom de Pline l’Ancien, auteur qui mourut lors de l’éruption
du mont Vésuve en 79. Tout comme son oncle, Pline possédait un don pour les mots :
ainsi produisit-il
Panégyrique de Trajan en 100, œuvre oratoire où il condamne la rhétorique artificielle. Il écrivit également
les Lettres, dix livres écrits et publiés entre 97 et 109 qui dépeignent son auteur
comme un amateur plutôt que comme un philosophe. Pline le Jeune fut également un avocat
très célèbre et de 111 à 112, il fut le légat de l’empereur en Bithynie.